Chroniques d'Elyxas le Vagabond.

oui c'est vrai, voila comment sa a commencé :

Azshor nous rejoint => contamine Jack qui contamine a son tour toute l'alliance

T'es un poison Az lol

Oui c'est vrai

//FLASH-BACK\\

Elyxas marchait dans une ruelle bondée de Cyr la Haute, son fief. La ville elle même était un imbroglio de ruelles plus ou moins éclairées, plus ou moins propres, et surtout, plus ou moins sûres. Mais l'homme connaissait bien ces rues : il y était né, il y avait grandi, puis il en avait prit le pouvoir une vingtaine d'années plus tôt, alors que la ville était gouvernée par un despote sanguinaire : son père. Il évitait adroitement les passants, badauds, et vide-goussets qui apparaissaient subitement devant lui, comme par magie, comme si une force supérieure voulait empêcher qu'il arrive à l'heure.

Soudain, la rue s'éclaira. Les bâtiments s'espacèrent peu à peu, puis il entra dans une zone résidentielle huppée. Elyxas se dirigea vers un vaste palais, que l'on voyait à des kilomètres. Le siens. Il passa une grille, où deux hommes en armes vérifièrent son identité. Il les laissa faire avec un ennui affiché, mais il savait que ces précautions étaient nécessaires : il s'était fait beaucoup d'ennemis au cour de sa vie, et beaucoup d'entre eux avaient les moyens de le lui faire payer cher. Très cher.

L'assassin traversa d'un pas rapide les quelques kilomètres de parc qui entouraient son manoir, et sa base de décollage privée. Il se dirigea vers une dépendance, là où, d'après ce qu'on lui avait indiqué, s'était installée une personnalité très importante : Sauron, le chef de son ordre. Bien que cet homme était un vieillard pathétique, et qu'il ne gardait de chef des assassins que le nom, le respect que lui vouaient les assassins impériaux était au diapason de sa carrière extraordinaire.

Elyxas ouvrit une porte donnant sur l'interieurs, sans brusquerie. Le calme qui régnait ici le faisait tiquer. D'habitude, le seigneur de l'Ordre profitait de ses prérogatives, et voyageait avec troupes et bagages. Leurs présences ne passaient pas inaperçues, bien sur : comment dissimuler les 800 personnes qui accompagnaient son seigneur et maître ? Elyxas pensait qu'ils étaient allés se divertir en ville, après le long voyage qu'ils avaient effectué cloîtrés dans le destructeur de Sauron, son vaisseau amiral : L'annihilateur. C'était un énorme vaisseau, qui rentrait à peine dans les hagars qu'Elyxas avait à sa disposition. L'annihilateur disposait de suffisamment d'espace pour héberger toute la suite de Sauron, et suffisamment d'armement pour détruire une petite ville.

/A SUIVRE\

Sans vouloir te vexer... j'ai remarquer une incoherence, dans ta premiere partie Sauron t"aide a t'échapper et dans ton flashblak c'est un vieux papy croulant... dans ta premiere partie c'est Sauron junior

sinon j'aime bien^^

Hum pas bête, pas bête, je modifie tout ça !

( modifications dans la premiere partie bien sur =D )

C'est exactement ce genre de remarque qui est interessante dans une partie RP, parce que celui qui écrit a plus le nez collé a son texte qu'a son histoire ( si si, vous n'êtes pas d'accord avec moi ? )

c'est vrai c'est vrai^^

Voila, j'ai transformé Sauron en vieillard décati dans la première partie ( avec une kalash quand même sinon il aurait rien à faire là -.- )

sauron joue avec l'espace temps ^^

Lol c'est super papy sauron !!!

un jour c'est un vieux avec un kalash et le jour d'après c'est un assassin qui fait du cheval et joue avec une épée ^^ (dans son rp)

C'est le continuum espace-temps qui est déréglé ! Nous allons tous mouriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir !

Au milieu d'une salle aux dimensions colossales se tenait, assis sur une chaise branlante, un homme hirsute. La quarantaine, une barbe noire miteuse lui rongeait le visage, lui donnant un air maladif. Ses yeux couleur de boue étaient injectés de sang. Il respirait fort, et son dos nu était couturé de cicatrices presque parallèles. Le fouet, sans aucun doute. Barbares...

Malgré tout cela, l'homme dégageait une sorte d'aura. Il donnait l'impression de contrôler parfaitement la situation. Il se tenait droit, fier et arrogant, bien que ses plaies mal soignées diffusaient une douleur sourde, qui était imprimé sur les traits de son visage. Un unique saillement de la veine battante sur son front le prouvait. Il regardait droit devant lui.

En suivant son regard, on distinguait une foule de gens habillés de vêtements aux couleurs bariolées. Des courtisans. De cette masse pourtant informe, on repérait trois êtres sortants du lot : tout d'abord, un homme de grande taille, vêtu d'une robe aux reflets irisés qui vous donnaient le tournis. Pour tout ornement, il arborait une couronne sertie habillement avec toutes sortes de pierres précieuses. L'ensemble ne manquait pas de charme. Mais ce n'était pas un sentiment de ridicule qui émanait de cet homme, comme on en avait l'habitude avec les bouffons courronnés de notre époque... Tous plus bedonnants les uns que les autres, il rivalisaient de bêtise et de cruauté. Non, celui-ci, en le regardant, on avait plus envie de prendre ses jambes à son cou que de rire. Un miasme presque visible semblait l'entourer, rependant un sentiment de stress qui rendait les gens mal à l'aise. Il était assis sur un trône noir gigantesque. Après avoir détaillé méticuleusement ce semblant d'homme, Elyxas Le Vagabond laissa glisser son regard vers les deux acolytes du roi : un prêtre trop bien nourri à sa gauche, et, ô surprise dans cette salle sordide, un femme d'une beauté rare à sa droite.

Le roi se leva. Le silence se fit immédiatement. Non pas par respect envers le roi. Ni même par amour. Par obligation : en effet, une cohorte de soldats en armure d'argent était dispersés stratégiquement dans la salle. Certes pas des armures antiques de chevaliers qu'on trouvait désormais dans des musées. La garde personnelle du roi méritait mieux que ça. Condensé dans cette combinaison, qui se fondait dans les reflets marmoréens des piliers, se trouvait le top, le must, la crème de la crème de ce qu'on vendait actuellement sur les marchés inter-galactiques. Système de visée nocturne à balayage semi-automatique à commande neurale, dispensateur thermique auto-régulé, et autres équipements du même acabit. Bref, chacun de ces hommes et femmes auraient pu survivre en autarcie pendant plusieurs semaines. Tout du moins jusqu'à ce que leurs réserves soient vides...Dès que le système ne recevais plus d'information, l'auto-destruction par fission froide mettait fin à la vie de la combinaison. Un soldat se voyait remettre une de ces combinaisons lorsqu'il signait pour la Garde d'Argent. La seule issue de ce contrat était la mort. Au combat, de vieillesse, ou pour les moins chanceux, exécutés par leur seigneur et maître.

Le roi s'éclaircit la gorge, et d'un grand mouvement théâtral, désigna la loque humaine assise sur la chaise branlante.

- Vous, Elyxas de Cyr la Haute, êtes parmi nous pour répondre à une accusation, fondée récemment par un homme qui a toute notre confiance, une taupe dans votre organisation. Je vous accuse donc d'appartenir à la société interdite des assassins de l'Ordre Impérial ! Qu'avez vous à dire pour votre défense ?

Une lueur nouvelle était apparue dans l'œil d'Elyxas. Malgré sa défroque de vagabond, et ses cicatrices qui le tiraillaient, il se leva. Lentement. La Garde d'Argent s'était aussitôt mise en position stratégique pour défendre leur roi. De sa voix rauque, pleine de gouaille, il se mit à railler le Roi. Les courtisans le regardaient avec étonnement :

- Ce que vous n'avez pas compris, ô grand roi, c'est que jamais un membre de notre ordre ne reniera en faire partie. C'est une chose que vous ne pouvez pas comprendre. L'honneur. La fierté. Le courage. Seulement, il y a un paramètre que vous n'avez pas pris en compte : nous sommes plusieurs, et nous sommes solidaires !

Le roi senti soudain un léger pincement dans son dos. Il se retourna rapidement, tel un serpent attaquant un mulot, et frappa. L'assassin qui tenait la dague ( ils utilisaient toujours des armes blanches pour les assassinats, pour une raison de classe ) la lâcha. Et se prit une balle perforante entre les deux yeux, tirée par un petit revolver un coup qui était caché sous une manche bouffante. Elyxas regarda cet assassin maladroit : il ne le reconnaissait même pas, son visage était ravagé par la balle.

Un brouhaha se fit entendre : la Garde d'Argent faisait feu, un peu au hasard, pour trouver les assassins restants. Plusieurs courtisans tombèrent, le corps perforé. Mais, tout d'un coup, une rafale se fit entendre. Les Gardes d'Argents tombaient l'un après l'autre, sous des balles noires gainées de tungstène. Lorsque tous furent à terre, gisant dans leur sang, des silhouettes apparurent aux balcons surplombant la salle. Elyxas en reconnu plusieurs : il y avait là Jack' O Neill, dans ta tunique grise, Sarkan, capuche abaissée, Azshor, qui venait de trébucher après avoir marché sur sa cape, Seahawk, Iceberg, Sauron, vieillard décati appuyé sur l'épaule de Lord-Eagle, mais tenant une fusil d'assaut dans sa main gauche, et bien d'autres encore. Tous étaient venu là pour liberer leur camarade et ami, certains ayant parcouru plusieurs centaines de milliards de kilomètres.

Elyxas avança d'un pas, ses deux gardes gisant à terre :

- Voilà ce que vous n'avez pas compris : les assassins sont un. Unis et indivisibles !

Elyxas attrapa au vol une dague ouvragée lancée par Jack, puis la relança. Tous virent la scène au ralenti : la dague lancée avec adresse suivait une trajectoire curviligne, qui se dirigeait lentement vers la gorge du monarque. Elle s'y planta d'un coup sec. Un geyser de sang jaillit de la plaie, et le roi déchu se mit à griffer l'air, appelait a appeler inaudiblement au secours.

Les assassin reculèrent dans l'ombre. Il ne restait qu'Elyxas, qui était allé récupérer ses biens dans les coffres sous le trône, et Jack', qui dit ;

- Fais attention : nous ne serons pas toujours là présent pour t'aider.

Elyxas hocha la tête sans rien dire : il s'était laissé capturer comme un débutant.

//FLASH-BACK\\

Elyxas marchait dans une ruelle bondée de Cyr la Haute, son fief. La ville elle même était un imbroglio de ruelles plus ou moins éclairées, plus ou moins propres, et surtout, plus ou moins sûres. Mais l'homme connaissait bien ces rues : il y était né, il y avait grandi, puis il en avait prit le pouvoir une vingtaine d'années plus tôt, alors que la ville était gouvernée par un despote sanguinaire : son père. Il évitait adroitement les passants, badauds, et vide-goussets qui apparaissaient subitement devant lui, comme par magie, comme si une force supérieure voulait empêcher qu'il arrive à l'heure.

Soudain, la rue s'éclaira. Les bâtiments s'espacèrent peu à peu, puis il entra dans une zone résidentielle huppée. Elyxas se dirigea vers un vaste palais, que l'on voyait à des kilomètres. Le siens. Il passa une grille, où deux hommes en armes vérifièrent son identité. Il les laissa faire avec un ennui affiché, mais il savait que ces précautions étaient nécessaires : il s'était fait beaucoup d'ennemis au cour de sa vie, et beaucoup d'entre eux avaient les moyens de le lui faire payer cher. Très cher.

L'assassin traversa d'un pas rapide les quelques kilomètres de parc qui entouraient son manoir, et sa base de décollage privée. Il se dirigea vers une dépendance, là où, d'après ce qu'on lui avait indiqué, s'était installée une personnalité très importante : Sauron, le chef de son ordre. Bien que cet homme était un vieillard pathétique, et qu'il ne gardait de chef des assassins que le nom, le respect que lui vouaient les assassins impériaux était au diapason de sa carrière extraordinaire.

Elyxas ouvrit une porte donnant sur l'intérieur, sans brusquerie. Le calme qui régnait ici le faisait tiquer. D'habitude, le seigneur de l'Ordre profitait de ses prérogatives, et voyageait avec troupes et bagages. Leurs présences ne passaient pas inaperçues, bien sur : comment dissimuler les 800 personnes qui accompagnaient son seigneur et maître ? Elyxas pensait qu'ils étaient allés se divertir en ville, après le long voyage qu'ils avaient effectué cloîtrés dans le destructeur de Sauron, son vaisseau amiral : L'annihilateur. C'était un énorme vaisseau, qui rentrait à peine dans les hagars qu'Elyxas avait à sa disposition. L'annihilateur disposait de suffisamment d'espace pour héberger toute la suite de Sauron, et suffisamment d'armement pour détruire une petite ville.

Donc, le bâtiment était silencieux comme une tombe. Non. Même une tombe était oplus accueillante. Le maître assassin prit donc son temps pour explorer les salles, faisant attention aux moindres détails. L'âtre froid de la cheminée lui indiquait que personne n'avait séjournée ici depuis au moins une semaine. Et les toiles d'araignées au plafond lui indiquaient qu'il devait renvoyer ses femmes de chambre.

Elyxas soupira. Fausse alerte. Dieu merci. De plus en plus rares, les appartitions de Sauron dans son domaine avaient toujours exaspéré le barbu. Il tenait à son calme. Elyxas avisa une fenêtre entr'ouverte. Il voulait étirer un peu ses muscles, pour effacer la tension que ces derniers jours avaient appliquée : trois assassins avaient été capturés, et avaient parlé. Donnant son nom. Elyxas n'avait pas eu trop de mal pour se disculper, mais il se doutait que la personne qui avait eu suffisamment de talent pour faire parler ne serait-ce que des apprentis assassins était forte. Très fort. Et qu'elle ne se laisserait pas duper ainsi.

Il fit un bond en avant et prit de la vitesse. D'un mouvement félin, il sauta, et agrippa la gouttière d'au dessus de la fenêtre. Il banda ses muscles, et dans la continuité du mouvement, sauta de fenêtre en fenêtre pour arriver dans le coin du bâtiment. Là, il saisit un long tuyau et se laissa glisser jusqu'au sol. Ses pieds touchèrent la surface douce de l'herbe folle avec autant de bruit qu'une plume tombant sur de la mousse. Il se redressa, et, sifflotant, se dirigea vers le bâtiment principal.

C'était un très grand manoir, ressemblant à ceux décrit dans les contes de fée : plus grand qu'on ne peut l'imaginer, plus imposant que la raison pourrait accepter, plus de tours que l'on pouvait compter : c'était chez lui. Elyxas passa encore deux contrôles de gardes, et arriva près de l'entrée principale du manoir. Le système de sécurité était des plus élaboré : scanner rétinien, empreinte digitale a gel, reconnaissance vocale... Sans compter les deux douzaines de gardes qui épiaient les moindres mouvement de tous les visiteurs, du simple mendiant à l'évêque.

Elyxas traversa treize salles, une douzaine de corridors et prit autant de passages secrets avant d'arriver à ses appartements privés. Non pas ceux qu'il montrait aux visiteurs, celui plein de soieries, draperies, tableaux et raffinerie en tout genre. Non, cette chambre là était de dimensions bien plus vastes : on aurait dit un hangar bas de plafond remplis de meubles. Et de choses diverses et variées qui ne semblaient ne rien avoir à faire ici. Les souvenirs de toute une vie passée à accumuler, accumuler, accumuler sans rien jeter.
Des armes brisées cotoyaient de riches parures, et, par terre, à côté d'une chemise froissée, traînait une bourse remplie de suffisamment d'argent pour vivire comme un nanti jusqu'a la fin d'une vie.

Elyxas pensa à son fauteuil favoris, un Louis XIV en parfait état, une relique inestimable. Il était las, las de tout ce qui faisait sa vie. Tout en regardant la fenêtre, il se dirigea vers le siège, et voulu s'assoire. Le seul soucis, c'est que quelqu'un y était déjà installé !

Moi un vieilleard pathétique!!!!!!!!!!!!!!!??????????????
bon ok je te pardonne dans mon histoire toi tu t'es fais buté
mdr

En fait les RP ce ne sont que des règlements de comptes, où chacun à l'immunité ^^

je trouve ton histoire vzchement entrainente^^

c'est pas faux

huppé prend un ou deux p ? Mais sinon, merci beaucoup ^_^

Je croi qu'il en prend 2 comme dans mesange huppé

je crois aussi^^

évidement c'est quoi cette question ^^

mdr^^